octobre 30, 2003 |
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Des historiettes comme des bulles de savons irisées, des parenthèses d’illusions d’amour qui finissent mal caressées par des cordes métalliques, des mots chuchotés, gémis, à peine avoués dans la pénombre d’une cave. Les grands enfants blasés se taisent pour une fois, et se laissent honteusement aller à l’anonymat du noir. Les regards se dépêtrent peu à peu des entraves tissées par les alchimies modernes pour se faire rêveurs, tendres, doux… Perdue dans un coin d’obscurité, je me laisse bercer moi aussi par ces bulles de paix, le cœur un peu moins moqueur qu’en pleine lumière. |
posted by Lisbeï @ 10/30/2003 01:06:00 PM ::
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